Il est inquiet par les menaces de guerre qui planent sur le monde, la crise qui s’est développée en Ukraine l’a même angoissé. Evidemment qu’il n’approuve pas que la Russie soit cernée par des bases militaires installées par l’OTAN.

Bien sûr il est conscient des difficultés que rencontrent les USA dans leur volonté de dominer le monde. Au plan technologique et dans le domaine du commerce international ils ont un concurrent redoutable avec la Chine.

Reste que la guerre ne résout rien, elle ne fait qu’aggraver les problèmes. On l’a vu en Afghanistan, en Irak, en Libye, et récemment au Mali. Les peuples ont besoin de paix et de sécurité. Cela vaut pour les Ukrainiens, les Russes, les Européens et en fait pour toutes les populations du monde.

Que des dirigeants aient l’intention d’avoir recours à la guerre pour tenter de régler les difficultés qu’ils rencontrent avec les choix qui sont les leurs dans les domaines économiques et sociaux est particulièrement risqué. Il faut substituer à une telle logique celle du dialogue et de la désescalade.

C’est cela l’essentiel et c’est cela que cogite Le Pèque en suivant les informations à la télévision, calfeutré dans le fond de sa niche. Calfeutré mais nullement à l’abri des effets destructeurs de la guerre, surtout que les futures belligérants sont en possession de l’arme nucléaire.

Dans le domaine de la paix comme dans l’ensemble des autres le capitalisme, qu’il soit américain, russe ou européen, n’offre que des perspectives angoissantes. Il faut bien poser les questions auxquelles nous sommes confrontés.

Oui il y a nécessité de sécurité mais cela ne s’obtiendra pas par le recours aux armes, chacun doit en être convaincu.